LES POMPIERS

A l’ère du professionnalisme, qui se souvient encore de ces hommes qui, à l’appel d’une cloche ou d’une sirène, et par tous les temps, quittaient ouvrage et foyer, pour aller rapidement jusqu’au centre de secours et s’y harnacher, afin d’intervenir au plus vite, sur les incendies et accidents de tous genres.

Commençons par un bref rappel historique national. C’est à Paris qu’était créé en 1716 un poste de Directeur des Pompes, puis en 1722 une Compagnie de garde-pompes. Napoléon Ier créait en 1811, pour la ville de Paris, un bataillon militaire de sapeurs-pompiers, qui était ensuite transformé en régiment sous Napoléon III, puis en brigade du Génie en 1967.

L’origine des sapeurs-pompiers communaux remonte à 1815. Au XIXe siècle, ceux-ci se divisaient en deux catégories : les sapeurs-pompiers municipaux, corps entretenus et soldés par la commune, indépendants de toute organisation militaire, et les corps de sapeurs-pompiers volontaires formant le plus grand nombre et faisant partie de la Garde Nationale (1). La suppression de cette dernière en 1871, amenait la révision du statut des sapeurs-pompiers, leur enlevait leur caractère militaire, et les faisait passer sous l’autorité du Ministre de l’Intérieur, par un décret de 1875. En 1925 et 1938, obligation était faite aux communes d’assurer les dépenses relatives au service d’incendie. L’organisation des sapeurs-pompiers communaux datait de 1953, et l’organisation départementale des secours était effective en 1955. La loi de décentralisation du 4 août 1982 apportait une nouvelle organisation des services d’incendie, proche de celle que nous connaissons actuellement.

Dans l’arrondissement de Melun, en novembre 1815, il n’existait que 3 compagnies de sapeurs-pompiers, qui étaient situées à :

  • Melun, avec un effectif de 67 hommes commandés par 3 officiers et 12 sous-officiers. Sa création datait du 25 ventose an 10, suivie de réorganisations les 30 juillet 1808 et 12 janvier 1815. Cette ville comptait alors 6.818 habitants.
  • Brie-Comte-Robert, avec un effectif de 45 hommes commandés par 4 officiers et 4 sous-officiers. Sa création datait du 1er janvier 1815. Cette ville comptait alors 2.360 habitants.
  • Chaumes-en-Brie, avec un effectif de 51 hommes commandés par 5 officiers et 9 sous-officiers. Sa création datait du 22 octobre 1815. Cette ville comptait alors 1.800 habitants.

Revenons à Champeaux, où l’organisation définitive d’une Compagnie de la Garde Nationale était signalée le 26 septembre 1830. Son commandement était assuré par le capitaine Jean François CETIER, ancien commandant, Chevalier de la Légion d’Honneur, secondé au poste de lieutenant par Etienne MARTIN, ancien officier ; les sous-lieutenants étaient François Victor DELAMARE et Pierre CHENEVIERE, le sergent-major Jean François PETIT, les sergents MM. DUVILLARD et Aimé LAURENT. MM. CETIER, DELAMARE et CHENEVIERE prêtaient serment le 24 avril 1831.

Le 24 avril 1836, il était fait état de travaux préparatoires relatifs à la formation d’une Compagnie de pompiers dans la commune, et que 22 des gardes-nationaux pouvaient y être admis. Ceux-ci s’étaient engagés à s’habiller en uniforme, à leurs frais. A cette date, la commune possédait déjà une pompe, de forme P.O. 902 mm avec son chariot de transport. L’ensemble des gardes-nationaux représentait un effectif de 45 hommes.

Un coup d’œil sur les communes environnantes montre qu’Andrezel, Bombon, Fouju, Moisenay, St-Méry, et Verneuil n’avaient pas de Compagnie de sapeurs-pompiers ; seuls Blandy, Crisenoy, Guignes et Mormant en possédaient une.

Dans son courrier du 16 décembre 1836 adressé au Préfet, le Maire Etienne MORISOT mentionnait que la commune n’avait acheté que 12 casques en cuivre fabriqués à Paris et coûtant 15 francs, que 2 sapeurs avaient fait la dépense à leurs frais, et qu’il restait donc 8 casques à pourvoir. Le département accordait, 3 jours plus tard, un ” secours ” de 100 francs. Les casques étaient décrits en ces termes : à visière mobile, modèle de Paris, avec chenille monté (sic) à vis avec écrout (sic), sur le devant du casque en relief sont des armes de France, et ces mots liberté, ordre public, sapeurs-pompiers de Champeaux.

Le 15 novembre 1846, le conseil municipal décidait qu’il n’existerait plus qu’une Compagnie de pompiers, au lieu des chasseurs-voltigeurs et pompiers qui existaient jusqu’à présent.

Placide Hubert ROBICHON, déjà dans la Garde Nationale depuis 18 ans, était nommé sous-lieutenant, par décret préfectoral du 3 avril 1852, et remplacé à compter du 4 août de la même année, par Louis Clair SINTIER, à la tête de la subdivision composée alors de 25 hommes. Cet effectif restait stable au moins jusqu’en 1854, pour n’être plus que de 21 en 1857, et composé, outre le sous-lieutenant, de 2 sergents, 4 caporaux, 11 sapeurs, 1 tambour et 2 clairons. En mai de cette année, ils n’étaient que 17 à être habillés par ce qu’il était convenu d’appeler à l’époque, la ” Grande tenue ” et la ” Petite tenue “. En plus de leurs interventions pour combattre les incendies, les sapeurs-pompiers de Champeaux assuraient, si nécessaire, un service d’ordre. Les manœuvres et l’entretien du matériel se faisaient, très ” exactement ” le 1er dimanche de chaque mois, ce qui n’était pas forcément le cas de toutes les communes. De la subdivision de Champeaux, dépendaient les unités d’Andrezel, Blandy, Bombon, Champdeuil, Crisenoy, Moisenay et St-Méry.

Louis Clair SINTIER donnait sa démission de sous-lieutenant, dans un courrier daté du 2 juillet 1862, adressé au Maire qui, dans sa lettre du 3 juillet 1863, adressée au Préfet, signalait que cette démission devait aussi entraîner celles de quelques hommes. A cette date, la subdivision des pompiers de Champeaux ne comptait plus que 15 hommes ” de bonne volonté “, au lieu des 25 souhaités, y compris l’officier et le tambour.

Rappelons que ceux-ci devaient être âgés de plus de 25 ans, et moins de 50, et jouir de leurs droits politiques. Le 4 octobre de la même année, le conseil provisoire de recensement de la commune établissait une liste de 25 hommes faisant tous partie de la Garde Nationale.

Par décret du 7 novembre 1863, c’était Antoine VAUTRIN qui était nommé sous-lieutenant.

En 1866, la subdivision comptait 25 hommes, pour atteindre les 27 en 1870. Ils étaient, chacun, équipés d’un fusil à silex de voltigeur et d’un sabre d’artillerie dit ” poignard “, ce dernier étant une acquisition de la commune.

En 1868, la subdivision communale des sapeurs-pompiers touchait son nouvel armement, à savoir 25 fusils d’infanterie à percussion ” transformés bis ” délivrés par l’Etat. La commune possédait toujours sa pompe.

A compter du 8 juin 1872, le commandement était assuré par le sous-lieutenant Adolphe Isidore ROBICHON, qui était entré dans la subdivision en 1864. M. ROBICHON avait comme successeur Eugène LEGRAS nommé en octobre 1878. Ce dernier, doutant de son autorité personnelle sur les hommes, démissionnait en avril 1879, et était remplacé en septembre de la même année, par Victor Alexandre BRULE ( !! ), caporal depuis 1875, et entré au corps en 1871.

En août 1878, l’effectif était de 21 hommes, pour une réglementation qui en prévoyait 25. En septembre de la même année, il était de 26. Ceux-ci disposaient toujours d’une pompe. Ils avaient toujours, en leur possession, chacun leur sabre ” poignard “, mais plus de fusils !!

En mai 1879, ils n’étaient plus que 16, et de nouveau 26 en septembre de la même année.

Le 11 juin 1885, était voté l’achat d’une pompe à incendie ” SOHY ” (constructeur-mécanicien 17, rue Lebrun, à Paris) aspirante et foulante, n°2, modèle de Paris, à 2 corps de 110 mm, avec tous ses accessoires, et montée sur un chariot à 2 roues, à flèche et palonnier à crochets, au prix global de 1341,90 francs (2).

Les principaux accessoires étaient : 2 leviers en frêne, 2 tamis en osier,
1 lance en cuivre à 2 orifices, 16 m de boyaux en cuir cloué de 45 mm,
1 hache à pic et tranchant, 20 m de cordage à bilboquet, 6 m de tuyaux d’aspiration en cuir à double enveloppe et hélice à l’intérieur, 1 pomme d’aspiration, 8 m de tuyaux en cuir cloué de 45 mm, 30 seaux de 12 litres en toile et 2 sacs en mouton.

La subdivision était dirigée, depuis le 23 juin 1885, par le sous-lieutenant Désiré SIMON.

Le commandement était pris, en mars 1889, par Onésime DUFRENOY qui démissionnait en mai 1891, pour cause de mauvaise santé. Sa succession était assurée de nouveau par le sous-lieutenant Désiré SIMON, à compter du 12 juin de la même année.

En mai 1894, alors que l’effectif n’était que de 18 hommes, la construction d’un portique d’entraînement pour les pompiers, était repoussée. Celle-ci était votée le 16 juin 1895, avec une participation communale de 300 francs, sur un devis total de 703,28 francs. En fait, le 4 août de la même année, le Maire était autorisé à faire l’adjudication de sa construction qui devait théoriquement être financée en totalité par la commune. Il n’en fût rien de tel, puisque le Département accordait 50 francs, la société d’assurances ” la Mutuelle ” 50 francs aussi, et les pompiers honoraires 77 francs.

Le 5 juillet 1896, la construction de ce portique, dont le coût global était arrêté à 521,18 francs (3), était confiée à MM. CHENEVIERE pour la maçonnerie, Hubert Gabriel DITHIOT pour la charpente, et PERROTIN pour la peinture. Celui-ci mesurait environ 2,50 mètres au carré et comportait 2 planchers placés à environ 4 mètres et 8 mètres du sol.

Le 14 novembre 1897, il était pourtant rapporté que la compagnie des pompiers était pour l’instant désorganisée, puisque ne disposant plus d’aucun sapeur. Ce que voyant, 3 conseillers municipaux s’engageaient à recruter des adhésions pour la réorganiser. A cette époque, il était pratiqué 8 manœuvres annuellement. Les primes accordées étaient celles-ci :

  • Assiduité aux manœuvres : 200 francs
  • Solde des pompiers présents aux incendies : 200 francs
  • Garde-magasin : 45 francs
  • Solde des tambours et clairons : 40 francs
  • Alimentation des pompiers en cas d’incendie : 50 francs

En 1898, 12 hommes composaient alors la subdivision communale.

Le 9 septembre 1900, il était annoncé que cette unité était reformée avec un effectif de 16 hommes. La commune disposait à cette époque, de 2 pompes à incendie. La première dite foulante comportait, outre son chariot, 3 demi-garnitures en cuir, leviers, cordages, tamis, seaux, haches, pelles, pioches, fourches et crochets. La seconde, aspirante et foulante n° 2, montée sur son chariot, possédait 16 m de tuyaux en cuir, hache, cordages, tamis, 6 m de tuyaux d’aspiration et quelques autres accessoires dits en bon état.

En 1903, l’effectif était de 15 sapeurs-pompiers avec pour chef le sergent-major Jules VALLET. Louis Emile GERALDY, nommé sous-lieutenant par décret préfectoral du 23 janvier 1904, prenait ainsi le commandement.

Le 4 août 1907, la commune s’engageait à maintenir la compagnie des sapeurs-pompiers, pendant encore 10 ans (4). Son effectif était de 11 hommes, pour 15 souhaité légalement. En décembre de la même année, il passait à 14.

Par décret préfectoral du 1er avril 1909, Louis Emile GERALDY était nommé lieutenant.

Le 17 février 1910, il était mentionné que le portique des pompiers était à reconstruire presque en entier (après seulement 13 années de service !). Cette reconstruction était chiffrée à 1.055 francs par l’architecte Gérald de FAYE.

Le conseil municipal décidait la construction d’un nouveau portique le 22 septembre de la même année, et optait pour un modèle en ciment armé de la société SIEGWART, pour la somme de 750 francs (5). Cette société avait son siège social et sa fabrique situés à Melun, près du pont du Mée.

En janvier 1920, la subdivision des pompiers de Champeaux ne comprenant plus que 4 membres, ne pouvait plus être commandée que par un sergent, et considérée que comme une section. Pour pouvoir prétendre au titre de subdivision, il fallait un effectif de 15 hommes.

Le 22 avril 1921, la compagnie de pompiers était annoncée comme reconstituée, et volontairement limitée à 10 unités, à savoir 4 anciens et 6 nouveaux. Le 20 septembre de la même année, le conseil municipal s’engageait à subventionner celle-ci, pendant 15 ans. En octobre, ils étaient 15 et disposaient de 2 pompes, l’une en très bon état, et l’autre ayant besoin de quelques menues réparations.

La prime annuelle d’assiduité aux manœuvres était de 500 francs (somme globale)(6), la solde de présence aux incendies de 15 francs par jour et 20 francs par nuit et par homme.

Par décret préfectoral du 21 novembre 1921, Désiré DRIGER était nommé sous-lieutenant. En novembre 1928, ses pouvoirs étaient renouvelés pour une période de 8 ans et il était promu lieutenant.

En 1930, l’effectif était de 12 pompiers.

Le 24 septembre 1931, le conseil municipal mettait à l’étude l’acquisition d’une moto-pompe. A cet effet, un syndicat intercommunal devait être constitué avec St Méry et Fouju. Le 26 juin 1932, le devis de 21.200 francs (7) de la SLAFFLY, pour une moto-pompe débitant 35 m3 et ses accessoires, était approuvé. Seul St Méry proposait de participer à cette acquisition pour 5.000 francs. L’Etat, en mars 1933, attribuait une subvention de 6.500 francs.

L’effectif, en juillet 1932, était de 10 hommes.

Le 16 octobre 1934, le conseil municipal fixait le tarif des déplacements de cette moto-pompe et de ses sapeurs-pompiers, pour les secours apportés aux communes voisines, comme suit :

  • Pour le matériel :
    1. Une indemnité forfaitaire de 125 francs
    2. Une indemnité de présence du matériel sur le lieu du sinistre de 50 francs / h
    3. Une indemnité kilométrique de 5 francs / km
    4. Le montant intégral des dégradations faites au matériel
  • Pour les hommes :
    1. Une vacation fixée, pour chacun des sapeurs-pompiers en service, à 5 francs/h de jour et 6 francs/h de nuit (8) (nuit : 20 h à 6 h du matin)
    2. La commune secourue devait le cas échéant, assurer à ses frais, la subsistance du personnel mis à sa disposition.

Les pouvoirs de Désiré DRIGER étaient renouvelés pour une période de 8 ans, par un courrier préfectoral du 22 janvier 1938. Pourtant, dans un courrier du 13 juin 1939, adressé au Maire, celui-ci présentait sa démission. Pour lui succéder, l’adjudant Raymond Joseph RIVIERE était nommé sous-lieutenant, par décret du 28 août 1939.

En août 1943, il était commandé une pompe LAFFLY de type O.3I.R, avec pistons en acier inoxydables, pour la somme de 11.175 francs. Celle-ci était destinée à remplacer celle qui venait de rendre l’âme et qui équipait la moto-pompe de même marque, acquise en 1932.

En décembre 1947, le corps des sapeurs-pompiers comptait 14 membres, alors que l’effectif légal était de 20 ; il convenait donc de compléter cet effectif. En cette fin d’année, le conseil municipal demandait que Champeaux soit de nouveau classé centre secondaire, pouvant efficacement assurer la défense des communes suivantes : Fouju, Crisenoy, Moisenay, Blandy, St Méry, Bombon et Bréau.

En décembre 1949, l’officier du corps de sapeurs-pompiers était Raymond BASSIER qui avait été nommé adjudant-chef, par un arrêté préfectoral du 4 juillet 1947.

Le 5 mai 1950, le Maire était autorisé à acheter, auprès des Ets MINIMAX de Paris, un appareil à mousse de 200 litres, sur roues, de type MR200.

Dans les années 1950, la moto-pompe était tractée par la Peugeot 3302QU4 de Paul DRIGER, ou la Citroën commerciale de Marcel YUNG.

La vieille pompe aspirante et foulante inutilisable, était vendue courant 1952, à Marcel RIVIERE, pour la somme de 10.000 francs. (9)

C’est le 9 mars 1956, qu’était prononcée la dissolution du corps des sapeurs-pompiers communal. A cette époque, il ne restait que 7 hommes en service, et qui de surcroît ne travaillaient pas dans la commune, d’où problème évident en cas d’appel.

Lors de la réunion du conseil municipal du 4 mai de la même année, il était annoncé que la moto-pompe, des vestes, des tuyaux, les vêtements de toile et le petit matériel avaient été revendus à la commune de Sancy-les-Provins, et que le reste des vestes et tuyaux avait été rachetés par la commune de Lescherolles.

Nous voici rendus au terme de cet historique. Bien sûr, au travers des coupures de presse régionale, il serait encore possible de parcourir les nombreux faits et anecdotes que ces hommes ont pu connaître pendant ces années de service et de dévouement auxquels ce modeste historique rend quelque peu hommage. Certains, toujours présents parmi nous, seraient d’ailleurs très capables de nous en dire encore un peu plus sur le sujet.

Vifs remerciements à Monsieur Fernand PAPILLON, pour le prêt de photographies dont celle qui vous est présentée ci-dessous, pompe à balancier. Très certainement une de celles qui sont encore en service en 1900 et après, avant l’acquisition de la moto-pompe LAFFLY.

Michel MORCHOISNE

(1) : Une garde bourgeoise fondée à Paris le 29 juin 1789 est, à l’origine de la Garde Nationale, favorable à la Révolution. Elle voyait le jour le 13 juillet de la même année, et LA FAYETTE en était le premier commandant.
(2) : environ 34.000 francs de 2001.
(3) : environ 12.500 francs de 2001.
(4) : 15 ans (dans documents conservés aux Archives Départementales de Seine-et-Marne ; cote 6R133)
(5) : environ 15.000 francs de 2001
(6) : environ 2.800 francs de 2001
(7) : environ 65.000 francs de 2001
(8) : environ 18 et 22 francs de 2001.
(9) : environ 1.100 francs de 2001.

Bibliographie : Compte rendus de réunions du Conseil Municipal de Champeaux ; Chronique de la France et des Français, des Editions Jacques LEGRAND, parue chez LAROUSSE ; Article du capitaine MAUGER, paru dans le n°4 de la revue Notre Département ; Documents cotés 6R10, 6R51, 6R52, 6R59, 6R60, 6R61, 6R62, 6R69, 6R84 et 6R133, conservés aux Archives Départementales de Seine-et-Marne.

Imagerie : Publicité datée de 1885, extraite du magazine Le Sapeur-Pompier.
Croquis d’implantation du portique, par l’auteur ; document publicitaire de la pompe LAFFLY de 1932, issu des archives communales.

Remerciements à MM. Joan DEVILLE (Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France), Marc LANGUILLAUME (Médecin du corps des Sapeurs-Pompiers de Moret-sur-Loing) et Remerciements à Marc RIVIERE, pour nous avoir gentiment ouvert sa collection de photographies et d’objets personnels. Remerciements à Fabrice YUNG pour son attention.