Formation BAFA

Le Rocheton, rue de la Forêt à La Rochette (77000), vous propose

https://www.ymca-rocheton.fr

Formation BAFA “Session générale

Demi-pension : 450 €
Externat (nombre de places limité) : 370 €
Internat : 550 €
Calendrier BAFA 2024
HIVER 2024
Du 11 au 18 février

PRINTEMPS 2024
Du 07 au 14 avril
Du 14 avril au 21 avril en internat

ETE 2024
Du 30 juin au 06 juillet
Du 07 au 14 juillet
Du 15 au 22 juillet
Du 16 au 23 août

AUTOMNE 2024
Du 20 au 27 octobre
Du 26 octobre au 02 novembre en internat

FIN D’ANNÉE 2024
Du 26 au 30 décembre
et du 02 au 04 janvier
Du 26 au 30 décembre
et du 02 au 04 janvier en internat

Sessions d’approfondissement

Calendrier BAFA 2024Plus d’informations www.ymca-rocheton.fr

Vaux-le-Penil,
Ferme Saint Just – 11 rue de la Libération
77000 VAUX LE PENIL

BAFA 2024 Vaux-le-PENIL

 

 

Projet d’Établissement pénitentiaire à Crisenoy

Les modalités de la concertation préalable sur le projet de construction d’un établissement pénitentiaire à Crisenoy et pour la mise en compatibilité du Plan Local d’Urbanisme de la commune de Crisenoy évoluent. 

  • La concertation préalable est prolongée: elle se tient du 17 janvier au 6 mars inclus.
  • Une permanence supplémentaire se tiendra en visioconférence mercredi 23 février 2022, de 10h à 13h. Vous pourrez vous connecter en vous rendant sur le site de la concertation concertation-penitentiaire-seine-et-marne.fr

Les autres moyens d’information et d’expression restent inchangés :

  • Réunion publique (19h – 21 h) le jeudi 3 février à la salle des fêtes de Crisenoy, rue Vert Saint-Père (publiée sur youtube).
  • Accès au dossier de concertation disponible en ligne sur concertation-penitentiaire-seine-et-marne.fr ou en mairie aux horaires habituels d’ouverture.
  • Dépôt de contribution en ligne sur concertation-penitentiaire-seine-et-marne.fr ou sur le registre papier disponible en mairie aux horaires habituels d’ouverture.
  • Permanence à la mairie de Crisenoy le mercredi 16 février 2022 (16h30 – 19h30)

Fraudes Cartes Grises

Ce communiqué est réalisé en raison des nombreuses fraudes autour de la carte grise.

L’intégralité des demandes liées à la carte grise sont à effectuer sur internet sur le site officiel : https://immatriculation.ants.gouv.fr/
et UNIQUEMENT sur ce site !

ATTENTION ! Certains autres sites internet proposent aussi leur aide pour la réalisation de ces dernières. Ces sites trompeurs proposent de réaliser les démarches pour obtenir un certificat d’immatriculation en échange de frais “d’assistance en ligne”, de “traitement du dossier” ou encore de “tâches administratives automatisées”. Or, sur le site officiel de l’ANTS, l’Agence nationale des titres sécurisés (www.ants.gouv.fr), les démarches sont gratuites.

Histoire d’eau à Champeaux

(Edito du Vie@Champeaux n°131 de juillet-août 2021)

Notre facture d’eau va augmenter …

C’est fait ! La CCBRC a adopté un plan d’investissement de l’eau de 135 millions d’euros. Celui-ci se traduit par une augmentation du prix de l’eau à raison de 0,50 € par m3 et par an, sur une durée de près de 10 ans. Pour ma part, j’ai voté contre, parce que plutôt partisan d’organiser la résistance face aux financeurs publics. Ma proposition n’a pas été suivie.

Aujourd’hui, le prix de l’eau à CHAMPEAUX est de 3,70 € le m3. Dans 5 ans, il atteindra 6,20 € auxquels il faudra ajouter l’évolution des taxes des divers « partenaires ». Dans 8 ans, le prix de l’eau avoisinera les 9 €.

En moyenne, un foyer consomme 100 m3 par an.
À CHAMPEAUX, notre facture actuelle s’élève, en moyenne, à 35 €/mois. Dans 5 ans, celle-ci atteindra, en moyenne, 55€/mois et dans 8 ans 75 €/mois. Un budget pas forcément accessible à tous les foyers et encore moins aux familles nombreuses.

Comme vous le savez, la CCBRC a pris la compétence Eau et Assainissement depuis 2017, au détriment des communes qui la composent. La CCBRC a la responsabilité d’engager des travaux. D’une part, certains réseaux d’adduction d’eau potable fuient jusqu’à perdre 40 à 50 % d’eau. D’autre part, certaines stations d’épuration, chargées de filtrer et traiter les eaux usées avant de les rejeter, sont obsolètes et polluent le milieu naturel.

Les aides publiques, notamment de l’État, ont été réduites ou plutôt, je devrais dire, détruites. En effet, quand, dans les années 2000, les investissements étaient aidés à 80 %, aujourd’hui on arrive à peine à 30 %. Ce sont donc nous, les consommateurs, qui allons régler la note !

Voici des mois que nous luttons avec l’Association des Maires Ruraux de Seine-et-Marne pour rétablir le juste prix. Nous revendiquons des aides publiques à la hauteur des enjeux. Nous proposons que les crédits européens destinés à la transition écologique soient aussi dédiés à l’eau.

Jamais l’environnement n’a pris autant de place dans les médias, jamais on n’a parlé autant du réchauffement climatique. Justement, il aura de graves conséquences sur la disponibilité de la ressource. Cependant, nous ne sommes pas entendus. La pétition mise en ligne ne remporte pas le succès escompté. Trop peu de consommateurs et d’élus la soutiennent. Pas même les associations de consommateurs n’ont répondu à nos sollicitations.

Est-il trop tard ? Certainement pas ! Nous continuerons à mener ce combat pour un prix de l’eau juste et accessible à tous. Que l’on soit consommateur, acteur de la vie publique, élu(e), chacun doit se saisir du défi à relever. Parlons-en autour de nous, signons la pétition, partageons les informations, interpellons les élu(e)s départementaux, régionaux, nationaux, et si nous sommes nombreux, nous serons entendus.

Pour signer la pétition : www.change.org « Pour un prix de l’eau accessible »

 

(Edito du Vie@Champeaux n°129 de mars-avril 2021)

Chères Campéliennes, chers Campéliens,

Le prix de l’eau à CHAMPEAUX s’établit aujourd’hui à 3,50 € le m3 environ. Notre commune a réalisé les investissements nécessaires de 2001 à 2010 et a su mettre à profit les subventions qui, à l’époque, s’élevaient à 80 %. En 2017, la mise en œuvre de la tristement célèbre loi NOTRe a eu pour conséquence le transfert de « tout ce qui touche à l’eau » vers notre communauté de communes. Aujourd’hui, notre village n’a plus le droit d’investir pour notre eau, elle relève de la compétence exclusive de notre communauté de communes.

Quel est le problème ? Sur les 31 communes et ses 40 000 habitants, des travaux gigantesques de mises aux normes sont nécessaires. Ce sont près de 100 millions d’euros qui doivent être investis pour rénover des réseaux, construire des stations d’épuration ou encore réhabiliter des châteaux d’eau. Là où le bât blesse, ce sont les aides des financeurs publics qui côtoient péniblement les 40 % !

Quelles conséquences ? Chères et chers Campéliens, votre facture d’eau actuelle est d’environ 400 € par an. Demain, soit d’ici 3 à 8 ans, vous paierez 1200 € à 1500 €, soit plus de 100 € par mois !

Qui est concerné ? Tous les usagers de l’eau Français !

L’Association des Maires Ruraux de Seine-et-Marne se mobilise, et interpelle les pouvoirs publics parce qu’il est hors de question d’accabler les consommateurs, qui plus est dans un contexte économique dégradé. Aidez-nous en signant la pétition ! Défendez votre pouvoir d’achat en relayant, en partageant, en faisant circuler cet appel. Je compte sur vous !

Yves LAGÜES-BAGET,
Maire de CHAMPEAUX et secrétaire de l’Association des Maires Ruraux de Seine-et-Marne.

Le 7 janvier 2021, l’AMR77 a mis en ligne cette pétition
SIGNEZ CETTE PÉTITION ! FAITES-LA CIRCULER !
Le lien pour signer la pétition : http://chng.it/kVwVNfXFzC


Simulation d’une future facture d’eau


Lors de l’assemblée générale de l’Association des maires ruraux de Seine-et-Marne (AMR77),
la gestion de l’eau a été au cœur du débat.
(article publié dans le journal La République du 14 décembre 2020)

Ag de l'AMR77 de décembre 2020
L’AG, du 8 décembre 2020, a réuni 100 personnes (l’AMR77 compte 154 adhérents) dont la grande majorité en visio.

Cette réunion annuelle s’est déroulée en présence de Joël Giraud secrétaire d’État chargé de la ruralité en compagnie de nombreux maires des communes rurales de moins de 3 500 habitants.

Promulguée en 2015, la loi NOTRe prévoit le transfert de la compétence eau et assainissement vers les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) donc les communautés de communes ou d’agglomération. D’après les maires ruraux, cela aura pour conséquences une iniquité, des difficultés de fonctionnement, des coûts d’études et de gestion faramineux.

« Il faut faire reconnaître l’importance de ce sujet au niveau national. Le ministère de la cohésion des territoires, ceux de l’écologie et des finances doivent agir auprès des instances européennes pour flécher des crédits verts européens du plan de relance pour diminuer la charge des transferts de compétence aux EPCI avec la date butoir du 1er janvier 2026 », explique François Deysson.

Compétence eau

En 2017, le prix moyen de l’eau en France est de 3,56 € et en Seine-et-Marne ne de 4,91 €. L’effet de la mutualisation impactera directement les habitants. Quid des réseaux et canalisations, dont certains nécessitent des travaux quand les subventions accordées par l’État sont passées de 80 % à tout juste 40 % ?

Si Les agences de l’eau perçoivent des redevances auprès des consommateurs afin de financer les infrastructures nécessaires à la sauvegarde et la distribution d’eau potable ainsi qu’à l’épuration des eaux usées, l’État les ponctionne à hauteur de 500 millions d’euros remettant en cause le pourquoi initial de la redevance.

Une aide européenne ?

L’AMR77 propose de ne pas accabler les usagers de l’eau en sollicitant les crédits verts européens pour permettre de relever le taux d’aide à 80 %. « L’État doit agir auprès des instances européennes afin d’obtenir qu’une part non négligeable des crédits européens fléchés pour l’environnement soit affecté sous forme de subventions aux EPCI afin de leur permettre de renouveler leur réseau sans provoquer de nouvelles crises sociales », déclarent d’une même voix les adhérents de l’AMR77.

8 millions pour le Département

Le préfet de Seine-et-Marne, Thierry Coudert a abordé le sujet de la dotation de soutien à l’investissement local : 170 dossiers ont été déposés en 2020, 13 ont été retenus. « Nous avons alloué 8 millions d’euros pour le Département. Nous avons fait le choix de limiter le nombre de dossiers recevables de manière à vraiment aider les communes bénéficiaires avec des subventions entre 80 % voire 100 % pour une des communes ». Patrick Septiers, président du Département a assurés les maires ruraux de son soutien « Nous travaillons pour et avec la ruralité. Nous faisons confiance aux maires pour gérer les subventions versées par le Département aux collectivités. Depuis 2015, nous avons traité 900 dossiers d’aides financières pour les équipements à hauteur de 25 millions d’€. Nous nous adaptons aux besoins des territoires. »

Historique des publications


LANCEMENT DU DISPOSITIF « Maprocuration »

La télé-procédure sera ouverte au public à compter du 6 avril 2021, pour tous les scrutins qui se dérouleront à compter du 11 avril et dans la perspective du double scrutin départemental / régional des 20 et 27 juin 2021.

Présentation générale :
Les services du Ministère travaillent à la mise en place d’un dispositif de modernisation de la procédure d’établissement des procurations, grâce à la mise en œuvre d’une procédure numérique.
Cette procédure partiellement dématérialisée, intitulée Maprocuration, est complémentaire de la procédure papier d’établissement des procurations de vote, qui perdure au profit des électeurs qui ne peuvent ou ne souhaitent pas utiliser la voix numérique

Un dispositif en 3 étapes
Le dispositif, qui repose sur des portails Internet dédiés à chacune des parties prenantes, fonctionne en 3 temps :

1
Effectuer votre demande de procuration en ligne en toute simplicité

2
Rendez-vous au commissariat ou à la gendarmerie pour valider votre identité

3
Vous êtes informé par courriel dès que mairie a validé votre procuration

  1. L’électeur mandant saisit en ligne (maprocuration.gouv.fr) sa demande de procuration après s’être authentifié via FranceConnect, il devra indiquer la commune dans laquelle il est inscrit, l’identité de la personne à laquelle il donne procuration (obligatoirement inscrite dans la même commune que lui), et enfin indiquer s’il donne procuration uniquement pour la prochaine élection (en précisant quel tour de scrutin) ou pour une période donnée. Une fois ces étapes franchies, le mandant reçoit un numéro de dossier qu’il devra présenter dans un commissariat ou une gendarmerie.

  2. Le mandant se rend ensuite dans n’importe quel commissariat de police ou brigade de gendarmerie avec sa référence de dossier et une pièce d’identité. L’officier de police judiciaire (OPJ) ou l’assistant de police judiciaire (APJ) habilité par le juge, saisit la référence dans un portail numérique dédié et sécurisé. L’identité de l’électeur mandant apparaît à l’écran, l’OPJ / APJ la contrôle au regard de la pièce d’identité présentée. La validation sur le portail par l’OPJ / APJ déclenche la transmission instantanée et entièrement dématérialisée de la procuration vers la commune d’inscription du mandant.

  3. Le maire, ou le service à qui il a donné délégation, se connecte sur le portail Internet dédié. Il procède aux contrôles habituels (inscription du mandant et du mandataire dans sa commune, respect du plafond de procurations détenues par le mandataire) avant de valider ou d’invalider la procuration. Le mandant reçoit un message sur la suite donnée par la mairie à sa demande.

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Quid des élections locales